Je fut surpris je dois l’avouer, mais je me sentait en confiance avec cette personne. Je compris facilement et rapidement que j’allais devenir son amis. IL m’indiqua de large porte en fessant une courbette " Par ici votre Seigneuriiie.. Je dois vous guidé à vos nouveaux appartement. " Sa grimace me fit sourire. Nous avançâmes tous les deux. Je découvrit enfin un peux plus cette citée volante. Je posais des tonnes de question, les mains jointe dans le dos Xerons me répondait à la manière d’un prof d’histoire. Il semblait et il était passionner par ce qu’il me racontait. Les couloirs était immenses, grand et large. On pouvait aisément y placer de nombreuses voitures côte à côte. Les couloirs, m’avait expliqué Xerons, étaient conçus si grand pour permettre une bonne ventilation. En cas d’invasion la cité des portes permettait de fermer les passages. De grands systèmes de ventilation utilisant les machines à vapeur et une mécanique irréprochable permettait également de ventiler l’air. Des plantes fluorescentes jalonnaient les murs, sur le côté je voyais les racines s’enfoncer dans la terre jaune. Des canaux pourvoyaient en eau ces plantes. Des bassins tapissaient les couloirs tous les dix mètres. J’étais sidéré par la beauté du lieu. Tous les dix mètres, des couloirs conduisaient à des rues où l’on pouvait voir des devantures de maison. "Les plantes, reprit Raxeons, sont utiles pour trois choses : elles fournissent la lumière, elles améliorent l’air ambiant. Enfin, leurs racines descendent dans les égouts qui se situent sous nous et nettoient ainsi nos déjections." " Une sorte de symbiose ? " demandais-je. " Tout à fait. D’autres créatures, insectes et petits mammifères finissent le travail des plantes. Il serait long de vous dire combien d’espèces cohabitent ici. " Nous arrivâmes à un des multiples embranchements. Chaque rue était nommée et des plans de la cité figuraient à chaque intersection. Je suivis mon guide dans une de ces rues. Elle était légèrement plus étroite que le grand couloir d’où nous venions. De chaque coté, des façades de maison diverses se faisaient face. Les plantes étaient omniprésentes. Des jeux de miroir placés avec astuce nous faisaient croire que nous étions en plein jour sous le soleil. Je vis aussi les traces de l’électricité. Enfin, mon guide s’arrêta devant une grande demeure en pierre, des fenêtres donnaient sur la cour intérieure.
dimanche 16 septembre 2007
Je fut surpris je dois l’avouer, mais je me sentait en confiance avec cette personne. Je compris facilement et rapidement que j’allais devenir son amis. IL m’indiqua de large porte en fessant une courbette " Par ici votre Seigneuriiie.. Je dois vous guidé à vos nouveaux appartement. " Sa grimace me fit sourire. Nous avançâmes tous les deux. Je découvrit enfin un peux plus cette citée volante. Je posais des tonnes de question, les mains jointe dans le dos Xerons me répondait à la manière d’un prof d’histoire. Il semblait et il était passionner par ce qu’il me racontait. Les couloirs était immenses, grand et large. On pouvait aisément y placer de nombreuses voitures côte à côte. Les couloirs, m’avait expliqué Xerons, étaient conçus si grand pour permettre une bonne ventilation. En cas d’invasion la cité des portes permettait de fermer les passages. De grands systèmes de ventilation utilisant les machines à vapeur et une mécanique irréprochable permettait également de ventiler l’air. Des plantes fluorescentes jalonnaient les murs, sur le côté je voyais les racines s’enfoncer dans la terre jaune. Des canaux pourvoyaient en eau ces plantes. Des bassins tapissaient les couloirs tous les dix mètres. J’étais sidéré par la beauté du lieu. Tous les dix mètres, des couloirs conduisaient à des rues où l’on pouvait voir des devantures de maison. "Les plantes, reprit Raxeons, sont utiles pour trois choses : elles fournissent la lumière, elles améliorent l’air ambiant. Enfin, leurs racines descendent dans les égouts qui se situent sous nous et nettoient ainsi nos déjections." " Une sorte de symbiose ? " demandais-je. " Tout à fait. D’autres créatures, insectes et petits mammifères finissent le travail des plantes. Il serait long de vous dire combien d’espèces cohabitent ici. " Nous arrivâmes à un des multiples embranchements. Chaque rue était nommée et des plans de la cité figuraient à chaque intersection. Je suivis mon guide dans une de ces rues. Elle était légèrement plus étroite que le grand couloir d’où nous venions. De chaque coté, des façades de maison diverses se faisaient face. Les plantes étaient omniprésentes. Des jeux de miroir placés avec astuce nous faisaient croire que nous étions en plein jour sous le soleil. Je vis aussi les traces de l’électricité. Enfin, mon guide s’arrêta devant une grande demeure en pierre, des fenêtres donnaient sur la cour intérieure.
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