mercredi 26 septembre 2007

Il nous conduit dans les vastes passerelle qui culminait à plusieurs mètres au-dessus du sol. On me dit que cela était beaucoup plus pratique. Je regardait vers le ciel, la coupole de verre ferait jalouser M. Eiffel. Il nous fallut plusieurs minutes pour traverser le vaisseau et nous passions par des raccourcis. Je posais des tas de questions, mes guides ne pouvaient pas répondre à toutes. J’apprit que le support que je prenais pour du verre et qui serpentait sur la structure de métal n’en était pas. Il s’agissait d’une plante qui vivait en symbiose avec le vaisseau. Elle permettait de voir le soleil mais empêchait la pluie d’entrer. Encore un exemple de symbiose… De plus, les feuilles de ces plantes, lorsqu’elles étaient stimulées par un contact électrique, se resserraient et formaient un mur presque indestructible. Nous finîmes par arriver sur une grande place. A cette heure si matinale, il n’y avait pas grand monde. La place était immense et très agréable. Au centre, une fontaine magnifique dominait l’espace. Nous nous dirigeâmes vers une grande construction en bois. " C’est la place des restaurants, me dit Ophélia, c’est ici que nous nous retrouvons pour manger. " Un homme vêtu d’un tablier blanc portait un plateau encombré de tasses et de diverses victuailles. Xerons l’interpella et lui demanda une table libre. Il nous montra une petite table donnant sur la place et partit avec notre commande. Le déjeuner fut rapide, nous passâmes le reste de la journée à visiter la forteresse elle s’appelait " Elienas ". Elle était bien plus grande que ce que j’avais pu imaginer jusque là. Représentez-vous une sphère plutôt ovale. Imaginez une taille immense : plus d’un kilomètre de diamètre et 500 mètres de hauteur. La montagne, car c’en était une, volait grâce à des roches spéciales. Le château avait été construit tout autour, protégeant ainsi le centre. Des murs en brique et en roche très dense permettaient une grande protection.

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