« Lors d’un combat, l’homme qui n’a pas peur de mourir est un fou, Celui qui a peur de la mort est un brave. »
Citation d’Arteflor lors de la guerre des Sciennes.
Découvrir un nouveau monde à quelque chose de grisant, de fantastique. Qu’auriez-vous fait si vous étiez à ma place ? Auriez-vous voulu voir ce qui se trouvait autour ? Moi j’ai fait ce que l’on fait tous lorsqu’on arrive dans un pays que l’on ne connaît pas. J’ai ouvert grand les yeux et j’ai regardé. J’espère pouvoir vous montrer ce que j’ai vu et vécu avec suffisamment de détails.
ELLEANA, jours six à dix huit, jour à Elleana : 19-37 Auoêrt du second cycle en 17808
Les trois premiers jours (une demi-Dieptre correspondant à une demi-semaine à Elleana) se succédèrent à une vitesse ahurissante. Je découvris l’histoire d’Elleana (enfin… les grandes lignes). Le troisième jour de ma rencontre avec Arteflor je fus autorisé à aller dans la bibliothèque. Elle était gigantesque. Les rayonnages s’étendaient à perte de vue. Depuis, je passais mon temps à lire. Je ne sais comment mais je compris leur écriture, comment cela pouvait être possible ? comprendre une langue écrite complexe du jour au lendemain ? Je ne savais pas et je ne le sais toujours pas. Plus j’apprenais sur ce monde, plus je voulais rester. Je regardais les nombreuses photographies en noir et blanc qui montraient les villes, les habitants d’Elleana. Ce monde était immense, il faudrait plusieurs vies pour le visiter. Les cités dépassaient celles que l’on voit dans les films fantastiques, les navires volaient. On pouvait croiser des Elfes dans les rues, parler à des dragons, côtoyer des dieux. Chaque vie, du simple paysan au plus grand héros était contée dans des livres fantastiques.
Citation d’Arteflor lors de la guerre des Sciennes.
Découvrir un nouveau monde à quelque chose de grisant, de fantastique. Qu’auriez-vous fait si vous étiez à ma place ? Auriez-vous voulu voir ce qui se trouvait autour ? Moi j’ai fait ce que l’on fait tous lorsqu’on arrive dans un pays que l’on ne connaît pas. J’ai ouvert grand les yeux et j’ai regardé. J’espère pouvoir vous montrer ce que j’ai vu et vécu avec suffisamment de détails.
ELLEANA, jours six à dix huit, jour à Elleana : 19-37 Auoêrt du second cycle en 17808
Les trois premiers jours (une demi-Dieptre correspondant à une demi-semaine à Elleana) se succédèrent à une vitesse ahurissante. Je découvris l’histoire d’Elleana (enfin… les grandes lignes). Le troisième jour de ma rencontre avec Arteflor je fus autorisé à aller dans la bibliothèque. Elle était gigantesque. Les rayonnages s’étendaient à perte de vue. Depuis, je passais mon temps à lire. Je ne sais comment mais je compris leur écriture, comment cela pouvait être possible ? comprendre une langue écrite complexe du jour au lendemain ? Je ne savais pas et je ne le sais toujours pas. Plus j’apprenais sur ce monde, plus je voulais rester. Je regardais les nombreuses photographies en noir et blanc qui montraient les villes, les habitants d’Elleana. Ce monde était immense, il faudrait plusieurs vies pour le visiter. Les cités dépassaient celles que l’on voit dans les films fantastiques, les navires volaient. On pouvait croiser des Elfes dans les rues, parler à des dragons, côtoyer des dieux. Chaque vie, du simple paysan au plus grand héros était contée dans des livres fantastiques.