jeudi 29 novembre 2007
mardi 27 novembre 2007
Le midi nous mangeâmes dans une petite auberge donnant sur la place du marché. Le repas fut succulent. Il y avait là-bas une espèce de créature à quatre pattes avec des ailes qui ressemblait à une poule. C’était tout bonnement délicieux, j’imaginais la fortune que se ferrait un tel éleveur dans notre monde auprès des familles nombreuses.
samedi 24 novembre 2007
Elle m’observa longuement. Derrière elle le garçon dit « Je courais voir ma mère, elle est malade et je dois lui apporter des médicaments. » Ophelia frémit et blêmit. Je vis son sabre tremblé, elle finit par cligner des yeux et repris son regard habituellement sombre. En se forçant à sourire, elle rangea son arme. « Quel est ton nom ? » demanda Xerons au jeune garçon. Le jeune garçon lui donna puis s’excusa le plus poliment du monde et repartit dans la foule.
jeudi 22 novembre 2007
mardi 20 novembre 2007
dimanche 18 novembre 2007
jeudi 15 novembre 2007
lundi 12 novembre 2007
dimanche 11 novembre 2007
J’était encore perdu dans ce cauchemar qui était toujours le même. Je sentais des mains puissantes me secouer. Mais je croyais qu’elles se trouvaient dans mon rêve. Soudain, je sentis de l’eau m’éclabousser. Je me réveillais en sursaut et regardais devant moi. Xerons se tenait debout avec un verre (vide) dans la main. J’avais le visage trempé, l’eau coulait sur mes joues. J’étais furieux, je lui balançais mon oreiller qu’il évita sans problème. « Ce que vous pouvez être grincheux de si bon matin dit-il. » J’étais assis dans mon lit à regarder bêtement l’homme qui se trouvait en face de moi. « Excusez-moi, dis-je, je n’ai pas l’habitude d’être attaqué dans mon sommeil. Pourquoi m’avez-vous réveillé ? il doit bien y avoir une raison. Et j’espère qu’elle vaut le coup. » Xerons me regarda avec un léger sourire puis il dit : « Dans une heure nous devrons être aux passerelles, on va vous faire découvrir un peu la ville. Mais en attendant on se rend à l’armurerie. » « On va en ville ? » La joie m’avait envahi, je pouvais enfin marcher sur la terre. Et l’idée de découvrir la ville et ses habitants me rendait fortement joyeux.
vendredi 9 novembre 2007

Un inconnu…
La terre Jour depuis le réveil : 150.
Lorsque j’écris ces lignes, jamais la solitude ne m’a paru plus forte. Tu me manques tant, ton sourire, ta joie de vivre, cette force qui fait de toi ce que tu es. En ton nom et au nom d’Ellena je tente d’être fort mais c’est tellement dur. Je ne sais pas si j’ai rêvé ou si c’était la réalité, mais ici je n’en ai aucune trace. Suis-je dément ? peut-être, sans doute même. Le temps ne m’aide guère, la pluie me rend mélancolique, je sais c’est idiot mais c’est ainsi. L’hivers est arrivé ainsi que dans mon cœur. Je me sens si loin de toi, ô mon amour. Je ne sais si un jour il me sera permis de te revoir. Je garde l’espoir mais cela est si dur. Ces mots que j’écris raconte mon histoire. En hommage à ce que j’ai vécu, je ne peux laisser Elleana disparaître. Les gens de ce monde ont le droit de savoir qu’il existe un monde différent.
Lorsque j’aurais fini, je ne sais ce qui m’arrivera. Raconter ce que j’ai vécu me permet de me raccrocher encore et encore à Elleana. Le temps passe et file mais pas mon amour pour toi. Je ne mange et je ne dors que dans l’espoir qu’un jour tu me reviennes. Je dors seul, parfois lorsque je me réveille en sursaut j’ai l’impression que tu es à coté de moi. Mais il n’y a rien d’autre que le vide.
jeudi 8 novembre 2007
Après un bon repas, je repartis vers ma chambre. La nuit était tombée depuis longtemps lorsque je me glissais dans les draps.