dimanche 12 août 2007


Tout autour des deux femmes, les feuillages se mirent à bouger. Et de là, émergèrent des créatures hideuses munies d’armes incongrues. Mon sang se glaça dans mes veines, mes yeux s’étaient écarquillés devant ces créatures. Finalement, je n’étais peut-être pas au paradis. Comment vous les décrire? Elles étaient l’union de toutes les créatures que je croyais n’exister que dans les films d’épouvante. Mais elles étaient tout à fait réelles, là, devant mes yeux. Ces créatures, vêtues d’habits gris salle, étaient une vingtaine et entouraient les deux jeunes femmes. Mais elles ne semblaient pas avoir peur. Le regard de la rousse n’exprimait ni la crainte ni le doute. Un des monstres, cornu, s’avança vers elles, il retira son casque noir et rouillé. Le plaçant sous son aisselle, il s’avançât et stoppa à quelques pas d’elles.

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