Le lendemain, enfin je crois que c’était le cas car je n’avais pas le soleil pour m’aider, je décidais de me lever. J’en avais marre de rester dans cette pièce. Je mis mon pantalon qui se trouvait dans une petite armoire métallique. Mettre mon pull s’avéra difficile avec mon bras droit bandé. On avait laissé à mon intention une paire de pieds nus. Je les enfilais et m’avançais vers la sortie. Lorsque je m’approchais de la porte, je me rendis compte qu’elle ne possédait pas de poignée. J’allais la toucher lorsqu’elle disparut dans la cloison. Cela ne ressemblait pas à une porte normale. Mais étant encore dans les vapes, je mis ce fait sur le compte de la fatigue. Je me retrouvais dans un étroit et long couloir faiblement éclairé. Je suivis les flèches sur le sol qui indiquait la sortie, la langue m’était inconnue.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire